Il y a peu de fleurs sur l’Île-aux-fleurs, mais il y a beaucoup d’ordures

Une amie m’a doublement envoyé ce vidéo. La première fois j’étais trop concentré sur un travail pour y porter attention. La seconde a été le bon moment. Elle a bien fait d’insister et de me gronder.

Derrière le ton semblant, par moment, avoir inspiré le numéro du restaurant de Jean-Thomas Jobin (je me demande encore si c’est volontaire ou non) se cache des informations désarmantes et d’une affreuse tristesse. Voyez ce que ça fait d’avoir le « télencéphale hautement développé et le pouce préhenseur ».

Ça date un peu, vous le remarquerez vite, mais malheureusement, le message est encore d’actualité.